Je pars à Budapest, en train, comme avant. Mais j’y vais seule, je ne vais y visiter personne, mes grands-parents sont morts depuis longtemps. Je retourne à Budapest à la recherche des évocations de ma grand-mère. Je pars sur les traces de celle qui n’est pas partie, celle qui est restée à l’Est. Un immense merci à la Fondation Landis & Gyr qui rend cela possible…